La problématique
"Luttter contre la pauvreté" est actuellement un slogan tellement courant qu'il semble siginifier qu'on a du mal à en trouver les vrais remèdes. L'on serait même porté à douter de la bonne volonté,des intentions et des stratégies des intervenants, locaux ou extérieurs impliqués dans cette problématique : institutions, organismes, pays ou groupes de pays, associations, ONG, personnes physiques ou morales ...
Au regard de ces pays pauvres bénéficiant depuis longtemps de l'assistance technique, matérielle, financière, méthologique ... de la part de l'Occident développé, comment en effet expliquer l'échec de nombreux projets de développement dans les pays destinataires ou bénéficiaire ? Car, curieusement pour le cas de l'Afrique subsaharienne, la plupart des pays n'ont pas encore décollé, au point de vue politique, social, économique, depuis que la colonisation et les indépendances leur ont présenté les nouveaux schémas en lieu et place de leurs systèmes traditionnels jugés sous-développés et incompatibles aux civilisations modernes.
Les quelques-uns qui parviennent à quitter la piste, y reviennent de manière surprenante et décevante. On dirait que les nombreuses tentatives de redressement socio-économique au niveau national et institutionnel, souvent et depuis longtemps appuyés et recommandées par les institutions internationales (Banque Mondiale, F.M.I., ...), n'apportaient pas suffisamment les solutions espérées. Réajustement structurel, décentralisation, transfert de programmes et/ou de technologies, assistance technique, coopération bi-ou-multinationale ... ne semblent pas suffire !
S'agirait-il d'un refus, d'une incapacité ou incompétence, d'incompréhension, d'une volonté de perpétuer une situation ? On aurait dû s'empresser de chercher les vraies causes d'un tel échec !
Au regard de ces pays pauvres bénéficiant depuis longtemps de l'assistance technique, matérielle, financière, méthologique ... de la part de l'Occident développé, comment en effet expliquer l'échec de nombreux projets de développement dans les pays destinataires ou bénéficiaire ? Car, curieusement pour le cas de l'Afrique subsaharienne, la plupart des pays n'ont pas encore décollé, au point de vue politique, social, économique, depuis que la colonisation et les indépendances leur ont présenté les nouveaux schémas en lieu et place de leurs systèmes traditionnels jugés sous-développés et incompatibles aux civilisations modernes.
Les quelques-uns qui parviennent à quitter la piste, y reviennent de manière surprenante et décevante. On dirait que les nombreuses tentatives de redressement socio-économique au niveau national et institutionnel, souvent et depuis longtemps appuyés et recommandées par les institutions internationales (Banque Mondiale, F.M.I., ...), n'apportaient pas suffisamment les solutions espérées. Réajustement structurel, décentralisation, transfert de programmes et/ou de technologies, assistance technique, coopération bi-ou-multinationale ... ne semblent pas suffire !
S'agirait-il d'un refus, d'une incapacité ou incompétence, d'incompréhension, d'une volonté de perpétuer une situation ? On aurait dû s'empresser de chercher les vraies causes d'un tel échec !